dimanche 3 août 2008

Daniel Meurois: Les Annales Akashiques

Je vous ai déjà parlé des annales Akashiques. Nous sommes tous connectés aux annales Akashiques et c'est ce qui nous permet de deviner certaines choses sans pour le moins y avoir réfléchi auparavant. C'est ce qui explique les illuminations de certaines personnes au cours de leurs vies. En fait, il y a plusieurs manières d'accéder à la 'conscience universelle' et à la 'mémoire universelle'. Les personnes spirituelles savent que leur spiritualité les aide à développer leur intuition, qui est la faculté leur donnant accès à ces sources de connaissance. Or, il y a une autre méthode assez peu conventionnelle pour accéder aux annales akashiques: à travers le voyage hors du corps. Comme vient de nous l'expliquer Anne Givaudan dans l'article précédent, c'est une méthode qu'elle et son compagnon de l'époque, Daniel Meurois, ont pratiqué pendant un certain nombre d'années avant de découvrir qu'ils pouvaient aussi explorer l'espace temps, revenir dans le passé, et redécouvrir leurs propres vécus ou celui des autres. Vous trouverez ici une vidéo de 4 minutes où Daniel nous explique le concept des 'Annales Akashiques':


jeudi 31 juillet 2008

Anne Givaudan: le message Christique originel

Dans cette vidéo, Anne nous parle du message authentique du Christ tel qu'elle l'a reçu directement du Maître Jésus.


Partie 1:



Partie 2:

Anne Givaudan, la décorporation et l'éveil de la conscience

Dans les prochains articles, je vais vous présenter deux écrivains, un homme et une femme, qui ont collaboré pendant un certain nombre d’années sur une vingtaine de livres touchant à la spiritualité. Ils ont commencé à s'intéresser à cela après une expérience assez particulière : ils ont découvert, par hasard, un jour, qu’ils pouvaient sortir de leurs corps et explorer l’espace- temps. Il s'agit de Daniel Meurois et d'Anne Givaudan, deux écrivains français. Cette faculté qu’ils ont étudiée depuis ce moment-là leur ont permis d’apporter une somme impressionante de connaissance sur le rapport de l’homme à l’univers et son rôle dans cet univers. Pour une fois, j’aurais des vidéos en langue française à vous présenter. Je laisse le soin à Anne Givaudan de vous donner des détails de leurs expériences si extraordinaires :

Partie 1:




Partie 2:




Partie 3:


mercredi 23 juillet 2008

"Jesus in the Himalayas" documentaire de Discovery Channel

Ceci est un condensé de 9 minutes d’un documentaire d’une heure diffusé sur le Discovery Channel, produit par Ian Cross et Bini Adams, avec Jeff Salz comme présentateur, intitulé Jesus in the Himalayas (2001) et retraçant le chemin pris par Jésus pour voyager en Indes, dans les Himalayas. L’anthropologiste Jeff Salz retrace le parcours pris par Jésus du pied des montagnes indiens en passant par les lieux élevés jusqu’à 17,000 pieds, ou descendant les rivières jusqu’à la frontière tibétaine, en suivant les routes des marchands de l’époque biblique. On trouve une version française de ce documentaire sur le lien suivant: http://www.youtube.com/watch?v=Rx_b8Ir4C0k



dimanche 29 juin 2008

L’intuition en tant que source de connaissance


Il arrive souvent que l’on se réveille au matin en ayant en tête, tout à coup, la solution à un problème sur lequel on a travaillé sans relâche la veille, mais sans pour autant trouver la solution. À ce moment-là, on serait tenté de penser que la nuit nous a porté conseil et, en fait, on ne serait pas loin de la vérité. En état de sommeil, nous sommes coupés du monde extérieur, nos sens ne se focalisent plus sur les événements extérieurs, ce qui nous donne accès à notre intérieur, et à tout un univers que l’homme moderne connaît mal. Il y accède grâce à son intuition.


Comment se fait t-il qu’on arrive à trouver la solution à des problèmes complexes alors qu’on a du mal à le faire pendant l’état d’éveil. Il y a une théorie qui suggère que pendant l’état de sommeil, on a accès à une source de connaissance quasi illimitée, un puit de savoir auquel chaque individu aurait pu accéder s’il l’avait souhaité.


C’est généralement notre égo qui fait obstacle à l’accès à ce savoir. Notre égo nous pousse à nous voir nous-mêmes par rapport aux autres, à nous mesurer aux autres toujours. En nous comparant aux autres de façon perpétuelle, on développe un manque de confiance en soi, on ne cherche plus les solutions en soi, mais plutôt autour de soi. L’esprit ‘scientifique’, l’esprit du monde moderne a toujours besoin de preuves ; il a toujours besoin de tout prouver aux autres. Du coup, il ne se fie plus à son intuition, ne consulte plus cette source de connaissance qu’il porte en lui, et qui aurait pu le sortir des situations les plus difficiles. La personne qui se veut ‘scientifique’ dans son travail à tous les coups, se renferme lui-même dans un carcan auquel, souvent, seul la mort pourrait éventuellement l’en libérer. On peut dire sans hésitation qu’une personne qui se fie à son intuition a aussi la possibilité de vivre une vie plus satisfaisante, alors que celui qui ne s’y fit pas, aura toujours tendance à ne pas être satisfait, cherchant toujours autour de lui des réponses qu’il ne trouve pas.


Dans la culture orientale, il existe un concept qui suggère que quelque part dans l’univers, toutes les expériences du monde sont répertoriées et conservées dans une mémoire universelle et que chacun peut y avoir accès à tout moment s’il le souhaite. C’est ce qu’on appelle les annales Akashiques. Il semble que ce soit de là que les êtres éclairés qui ont marqué l’humanité puisent leurs savoirs. Mais les êtres éclairés, comme Jésus, le Bouddha, Mahomet ou Sathya Sai Baba ont aussi enseigné à l’homme les moyens d’avoir accès lui-même à cette source de connaissance et de sagesse. Toutes les formes de spiritualités, toutes les formes de pratique spirituelle, servent surtout à nous pousser à l’intériorisation, à nous tourner vers notre intérieur, pour éventuellement y trouver plus de paix et de tranquilité. En effet, le monde extérieur est un univers de changements, un constant remue-ménage. Et tout ce désordre embrouille l’esprit et nous empêche d’employer toutes nos facultés pour trouver la solution à nos problèmes.


La prière et la méditation semblent être les exercices classiques de spiritualité nous amenant à nous tourner vers notre fort intérieur, à nous écouter nous-mêmes, et à chercher les réponses, si besoin est, en nous-mêmes. Que faisons-nous quand toutes les traces physiques et visibles d’un événement passé ont fini par disparaître, ou ont été effacées volontairement. Devons-nous obligatoirement renoncer à retrouver ces traces qui auraient pu nous aider à mieux comprendre le monde où nous vivons, et possiblement à aider les autres à mieux le comprendre. Bon nombres de personnes affirment avoir eu accès à des événements du passé grâce des méthodes ‘non-conventionnelles’, à travers le rêve, la méditation, des visions, etc....Du moins, c’est l’esprit scientifique qui aurait tendance à considérer ces moyens comme ‘non-conventionnels’, comme peu sûrs et pas fiables. Examinez le cas d’un personnage comme Edgar Cayce qui donnait des conseils aux autres dans tous les domaines, même ceux auxquels il n’avait pas été formé lui-même auparavant. Considérez le cas de Jésus qui semble connaître à l’avance sa propre destinée et celles des autres. Considérez le cas de Sathya Sai Baba qui semble déjà tout connaître de chacun d’entre nous sans même nous avoir rencontrés auparavant.


Et si ce pouvoir de l’intuition était le naturel de tout un chacun, qu’il nous suffirait de nous y fier un peu plus pour arriver à le développer pour le meilleur? Dans cette quête de la vie de Jésus, j’aurais souvent l’occasion d’avoir recours à ma propre intuition, ou à me fier à celles des autres. Deux mille ans après les événements, il se pourrait que ce soit un moyen tout aussi efficace pour connaître la vérité sur les événements. Toutes mes recherches sur la vie de Jésus m’ont améné à comprendre que des événements importants de sa vie sont restés cachés pour l’ensemble de l’humanité. Et si la vérité était tout ce dont l’humanité avait besoin pour régler les conflits planétaires, entre nations, entre races, entre cultures? Cherchons en nous-mêmes les réponses et aidons, si possible, les autres à trouver ces réponses. Voilà la tâche que je me suis assigné dans cette quête de Jésus.

dimanche 15 juin 2008

Les signes qui montrent que Jésus n'est pas mort sur la croix!

Le temps passé sur la croix

Tout d’abord, vous devez savoir qu’il est possible de survivre à la crucifixion. Même si c’est l’une des punitions les plus atroces que l’on pourrait infliger aux criminels dans l’ancien temps, il y a des cas connus de personnes qui ont survécu à cette expérience. L’historien juif du premier siècle, Joséphus rapporte dans La Vie de Flavius Joséphus avoir un jour rencontré trois de ses amis qui avaient été crucifiés, et après avoir fait appel au pardon du Commandant Romain Titus, les trois hommes furent descendus de la croix et reçurent la meilleure attention médicale possible. Deux d’entre eux moururent, mais l’un d’entre eux survécut.


Grâce aux récits des historiens comme Joséphus, nous savons que les criminels qui étaient crucifiés devaient être laissés sur la croix pendant plusieurs jours avant qu’ils ne meurent. Et la mort survenait avec l’épuisement et étouffement, non pas à cause des blessures de la personne. Avec le temps qui passe, les criminels, s’épuisant, finisaient par ne plus avoir de force pour tenir sur leurs jambes. En étant maintenus de la sorte avec leurs bras étirés, il y avait compression des poumons qui les empêchait de respirer proprement. Ils s’étouffaient et finissaient par mourir. Mais en général, cela arrivait au bout de deux ou trois jours. Parfois aussi, pour accélérer le procéssus, les jambes des criminels étaient brisées, ce qui les amenait à s’étouffer beaucoup plus rapidement et mourir par la suite.


Dans le cas de Jésus, les récits des évangiles canoniques nous donnent des informations sur le temps qu’il a passé sur la croix. Bon nombre de chercheurs estiment que ce temps-là ne suffit pas pour avoir donné la mort à Jésus.


Dans le récit de l’évangile de Marc, chapître 15, verset 25, vous pouvons lire ceci : « C'était la troisième heure, quand ils le crucifièrent. » (La troisième heure chez les juifs de l’époque correspond à neuf heures du matin). Dans les versets 34 à 37, nous lisons ceci : « Et à la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Éloï, Éloï, lama sabachthani? ce qui signifie: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? Quelques-uns de ceux qui étaient là, l'ayant entendu, dirent: Voici, il appelle Élie .Et l'un d'eux courut remplir une éponge de vinaigre, et, l'ayant fixée à un roseau, il lui donna à boire, en disant: Laissez, voyons si Élie viendra le descendre. Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira. » (La neuvième heure correspond à 3 heures de l’après-midi.) Cela signifie qu’il est resté sur la croix pendant au moins six heures avant d’être considéré comme mort par l’assistance. Alors que certains ont suggéré qu’on lui avait donné une substance quelconque à boire avec le vinaigre, lui faisant perdre connaissance, il est clair qu’il n’a passé que six heures sur la croix.


Avec les autres récits de Mathieu, Luc et Jean, nous notons, soit le même temps, ou un temps plus court passé sur la croix. C’est dans l’évangile selon Jean que nous trouvons un temps encore plus court : « C'était la préparation de la Pâque, et environ la sixième heure. Pilate dit aux Juifs: Voici votre roi.Mais ils s'écrièrent: Ote, ôte, crucifie-le! Pilate leur dit: Crucifierai-je votre roi? Les principaux sacrificateurs répondirent: Nous n'avons de roi que César. Alors il le leur livra pour être crucifié. » (Jean 19 :14 – 16) Dans ce récit, le procès a lieu bien plus tard, à midi, ce qui signifie que Jésus est resté encore moins de temps sur la croix. Le lendemain devait être le jour du Sabbat pour les Juifs et les corps des criminels ne devaient pas demeurer sur la croix à cause de cela.


« Dans la crainte que les corps ne restassent sur la croix pendant le sabbat, car c'était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour, les Juifs demandèrent à Pilate qu'on rompît les jambes aux crucifiés, et qu'on les enlevât. » (Jean 19 :31)


Les corps des crucifiés devaient donc être enlevés des croix avant la fin de la journée, et sans surprise, on découvre que les deux autres hommes qui avaient été crucifiés avec Jésus étaient toujours en vie. Et leurs jambes devaient donc être brisées pour accélérer le processus. Mais dans le cas de Jésus, ils le trouvèrent apparemment inconscient et croyaient qu’il était déjà mort.


Le sang et l’eau

Il y a un détail qui devrait attirer l’attention du lecteur dans les récits des évangiles. Dans Jean 19 :32- 34, nous lisons ce qui suit : « Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes au premier, puis à l'autre qui avait été crucifié avec lui. S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau. »


Si Jésus était déjà mort à ce moment-là, on pourrait se demander comment cela se fait qu’autant de sang et d’eau puissent jaillir du corps de Jésus. Cela ne peut arriver que si le coeur de Jésus continuait encore à battre. Le sang ne circule plus au moment où le coeur s’arrête de battre. Dans le cas de Jésus, cela est la preuve qu’il vivait encore.


Un autre détail qui devrait nous frapper est que Pilate lui-même, lorsqu’on vient lui demander le corps de Jésus, fut surpris d’apprendre que celui-ci était déjà mort : « Pilate s'étonna qu'il fût mort si tôt; il fit venir le centenier et lui demanda s'il était mort depuis longtemps. » (Marc 15:39)


C’est un noble appelé Joseph d’Arimathée qui alla demander le corps de Jésus à Pilate. Nous savons qu’il est un disciple de Jésus et avait beaucoup d’influence à Jérusalem, car il alla directement à Pilate pour demander le corps de Jésus.


« Le soir étant venu, arriva un homme riche d'Arimathée, nommé Joseph, lequel était aussi disciple de Jésus. Il se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus. Et Pilate ordonna de le remettre. » (Mathieu 27 :57-58)


Quand on lit les récits de cette période, nous apprenons que les hommes condamnés, sous le régne de Rome, ceux qui étaient crucifiés, étaient tout simplement laissés dans le désert après leur mort afin que leurs corps soient dévorés par les bêtes sauvages. En principe, ils n’avaient pas les honneurs d’être placés dans un tombeau comme ce fut le cas pour Jésus. Le fait que le gouverneur Ponce Pilate ait authorisé que le corps de Jésus soit pris par les disciples est un signe que Pilate lui-même avait un certain respect pour Jésus.


Il y a des lettres de Pilate qui le certifient. Dans une lettre de Pilate addressée à l’empereur, il parle de son admiration pour Jésus, et même de la protection qu’il lui aurait accordée par moment. Une lettre authentifiée se trouve à la Bibliothèque du Congrès à Washington:


« Un jeune homme apparut en Galilée, préchant avec humilité, une nouvelle loi au nom du Dieu qui l’avait envoyé. Au début, j’ai été méfiant croyant que son but était de soulever le peuple contre les Romains, mais mes craintes se sont dissipées bien vite. Jésus de Nazareth parlait autant en tant qu’ami des Romains, que celui des Juifs. Un jour, j’observais au milieu d’un groupe de gens un jeune homme qui se penchait contre un arbre, s’addressant calmement à la multitude. On me dit que son nom était Jésus. Cela, je pouvais aisément le deviner, tant il était différent de ceux qui l’éoutaient. Ses cheveux doré et sa barbe lui donnaient un aspect céleste. Il avait l’air d’avoir la trentaine. Jamais je n’ai vu une physionomie aussi douce et sereine. Quelle différence entre lui et ses auditeurs aux barbes noires et aux physionomies de fauve. Ne voulant pas l’interrompre par ma présence, je continuais ma ballade mais demanda à mon secrétaire de se joindre au groupe et d’écouter. Plus tard, mon secrétaire me rapporta que jamais il n’avait lu chez les philosophes, quelque chose qui pourrait se rapprocher de l’enseignement de Jésus. Il m’apprit que Jésus était ni séditieux ni rebelle, alors nous lui offrîmes notre protection. Il avait la liberté d’agir, de parler, de rassembler et de s’adresser au peuple. Cette liberté illimitée provoqua les Juifs – pas les pauvres, mais les riches et les puissants.


Plus tard, j’écrivis à Jésus pour lui demander un entretien au Praetorium. Il vint. Quand le Nazaréen fit son entrée, je faisais ma promenade du matin et comme je lui faisais face, mes pieds avaient l’air cloués au sol de marbre et je tremblais de tous mes membres, comme un criminel coupable alors qu’il était calme. Pendant un temps, j’étais en admiration devant cet être extraordinaire. Il n’y avait rien en lui de repoussant, ni dans sa personnalité. J’étais stupéfié par sa présence. Je lui dis qu’il avait une simplicité attrayante et que sa personnalité l’élevait au-dessus des philosophes et enseignants de son temps. En somme, il fit une profonde impression sur moi et tout le monde à cause de sa générosité, sa simplicité, son humilité et son amour.


A présent, Noble Souverain, ce sont les faits concernant Jésus de Nazareth et j’ai pris le temps de vous écrire en détail à son sujet. Je dis qu’un tel homme qui ^pouvait convertir de l’eau en vin, transformer la mort en vie, les maladies en santé, calmer les mers déchainés, n’est pas coupable d’offense criminelle, et comme d’autres l’ont dit, nous devons reconnaître qu’il est réellement le Fils de Dieu !


Ton fidèle serviteur,

Ponce Pilate. »


Les herbes apportées par les disciples

Dans le récit de l’Évangile selon Jean, nous apprenons qu’après que le corps de Jésus ait été repris par Joseph, le disciple, Nicodème apporta des herbes au tombeau : « Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d'environ cent livres de myrrhe et d'aloès. Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme c'est la coutume pour ensevelir chez les Juifs.» (Jean 19 :39-40)


Ce fameux mélange de myrrhe et d’aloès a beaucoup intrigué les chercheurs, car ces herbes avaient aussi des propriétés curatives. Elles avaient été utilisées par les Romains et les Grecs au moins 300 ans avant JC à cause de leurs propriétés medicinales. Ces herbes pouvaient-elles avoir été utilisées par les disciples eux-mêmes pour guérir les blessures de Jésus ou au moins pour commencer un traitement avant de le mettre dans la tombe ? Cette tombe appartenait à Joseph lui-même et se trouvait à proximité de la scène de crucifixion. Si Jésus était réellement mort, on pourrait se demander pourquoi ils avaient besoin d’autant d’herbes pour lui, car c’était réellement une quantité extravagante. Selon les traités médicaux anciens, une mixture de myrrhe et d’aloès est un remède efficace en cas de blessures.


Ce qui a pu se passer à l’intérieur du tombeau.

C’est là une question qui intrigue les chercheurs depuis des années. Devons-nous accepter la version officielle de l’Eglise et croire que Jésus est vraiment mort sur la croix, ou alors, pouvons-nous prendre en considération tous les indices que je viens de vous indiquer ici ? Nous savons, d’après les récits de évangiles, que la tombe était bien gardée, les signes surnaturels que les gens observaient au moment de la mort de Jésus leur faisaient peur. On pourrait se demander s’ils sont effectivement restés à leurs postes.


Un autre point à noter est le fait que cette nouvelle tombe appartenait à un disciple de Jésus. Elle pouvait bien contenir un passage secret menant ailleurs qui aurait permis à quelqu’un de rejoindre Jésus alors que la tombe était fermée de l’extérieur. L’évangile selon Luke (23:53) nous apprend ceci : « Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis. » Joseph d’Arimathée était un homme riche d’influence. Il est possible qu’il ait pu intervenir lui-même.


Mais nous n’avons pas à aller jusque là pour croire que Jésus n’était pas encore mort au moment de la mise au tombeau. Le récit du manuscrit trouvé par Notovitch au Tibet nous montre bien que Jésus avait appris à guérir les bléssés et à restaurer le corps humain de ses blessures. Nous savons qu’il était un excellent guérisseur. Si on imagine qu’il était dans un état de coma à la descente de la croix et qu’il soit revenu à lui dans la tombe, il aurait très bien pu se guérir seul à l’aide des herbes qu’il avait avec lui. Plus tard, je vous parlerai d’une autre possibilité qu’on a pu envisager pour expliquer qu’il ait pu s’en sortir.


De toute façon, il existe bon nombre d’indices qui montrent qu’il a bien survécu à la crucifixion. Mais ces indices existent dans des documents n’appartenant pas à la tradition judéo-chrétienne. Ce qui explique pourquoi les chrétiens ne les connaissent pas. Pourtant ces textes sont tenus en estime dans d’autres traditions du monde : en Perse, en Inde, au Tibet, et même en Chine. Jésus a toujours été un être de lumière marquant son assistance partout où il est passé après son départ de la Palestine. Parcequ’il est clair qu’il ne pouvait demeurer en Palestine après cela. Il était un condamné à mort. Pour ne plus avoir d’ennui avec les autorités romaines, il se devait de quitter la jurisdiction de l’Empire Romaine.


L’attitude des Chrétiens a toujours été d’ignorer ces textes provenant du reste du monde, et les considérer comme hérésies. Ils en ont peur et ne veulent pas en entendre parler. Pourtant, c’est précisément dans ces documents d’ailleurs que l’on pourrait retrouver des traces de la vie de Jésus après la crucifixion. Il a continué à vivre jusqu’à un âge fort avancé. Si au moins, les Chrétiens du monde osaient sortir des chantiers battus, ils auraient trouvé un Jésus encore plus impressionnant qu’ils n’avaient pu imaginer. L’image de Jésus telle que nous montre l’Église est une image déformée. Il convient de faire des recherches pour retrouver ce qu’il a été. Il existe encore des indices dans d’autres traditions du monde de ce que Jésus a réellement été. Dans les articles qui suivent, je vous donnerai un aperçu du contenu de ces documents.


Il est évident que bon nombre des dogmes de l’Église n’existent que pour assurer l’autorité de l’Église sur les fidèles. Les apôtres étant les rares privilégiés à avoir été temoins de la résurrection, ils deviennent du coup les détenteurs d’une autorité transmise à travers l’Église et, et de Pape en Pape, garantissant la survie de l’institution. Mais un Chrétien ne doit pas avoir peur de la vérité. S’il faut la chercher, ayez le courage de le faire et vous ne serez pas déçu. Bien au contraire, vous vous lancerez alors sur une des quêtes les plus fascinantes de votre vie.

samedi 24 mai 2008

Résurrection V/S Réincarnation

Il fut un temps où l’Eglise défendait farouchement l’idée que la terre est plate avant que les scientifiques n’en démontrent le contraire. Il fut un temps aussi – c’était au début du 17éme siècle- où un autre conflit éclata, opposant les chercheurs comme Galilée aux représentants de l’Église, sur la question de savoir si la terre tournait autour du soleil ou pas, et le Saint-Office affirmant alors publiquement que soutenir la proposition que le soleil est immobile au centre du système est « insensé et absurde en philosophie et formellement hérétique car elle s’oppose aux Saintes Écritures et à l’interprétation commune des Saints Pères… » Aujourd’hui c’est toujours avec la même fermeté qu’elle défend l’idée de la résurrection de Jésus et de son ascension physique au ciel, malgré le fait que bon nombre de prêtres, de théologiens et d’évêques eux-mêmes ont fini par douter de la réalité de la résurrection.


Comment pouvons-nous savoir que Jésus a survécu à la crucifixion et a continué à vivre par la suite ? Simplement parcequ’il y a des traces de sa présence après la crucifixion ailleurs, et même un tombeau à Srinagar au Kashmir, que l’on considère comme le sien. Non, il n’est pas mort sur la croix, et était probablement dans un état de coma lorsequ’il fut enlevé de la croix. Je m’intéresserai à ce problème plus tard.


Je vais d’abord m’intéresser à l’ascension de Jésus dans son corps physique. Toute créature meurt ; les hommes, les animaux, les plantes sont tous sujets à la même loi de vie et de mort. Le seul être dans l’histoire de l’humanité à avoir surmonté la mort, selon l’Église, est Jésus ! Tous les prophètes du monde sont morts éventuellement un jour : Mahomet, Krishna, Siddharta Gautama, Rama, Mahavir...etc...Pour l’Église, Jésus est le seul qui ne meurt pas parcequ’il est d’essence divine. Cela donne une autorité divine à Jésus, mais aussi une suprémacie sur tous les autres prophètes et saints du monde. Certains diront que ce ‘miracle’ spectaculaire qu’est la résurrection est la confirmation que c’est son message qui devrait être écouté parmi tous les autres.


Je ne cherche en aucun cas à diminuer la valeur de son message, mais j’espère que vous comprenez ce qu’une telle croyance peut avoir de néfaste dans l’esprit de ceux qui la partagent , les Chrétiens en général, les amenant même à penser que les autres religions inspirées par les ‘simples mortels’ ne pourraient être qu’inférieures par rapport à la vraie religion du Christ.


Ce que je souhaite faire avec mon blog, c’est de démontrer à mes lecteurs l’universalité des grandes religions du monde. Si Dieu, le Dieu unique en qui je crois, est l’inspiration derrière les grandes religions du monde, cela ne devrait pas être un problème pour moi de réconcilier les messages des fondateurs de ces religions. Mais dans le cas du Christianisme telle qu’il est, le concept de résurrection est un sérieux obstacle sur mon chemin. Vous allez découvrir à présent que Jésus lui-même ne l’a jamais enseignée à ses disciples, que c’est une idée qui est née au sein des pères de l’Église, mais cela a fini par influencer tout l’Occident à travers les églises chrétiennes.


La résurrection est une théorie qui suggère la possibilité pour l’humain de se relever de la mort dans son propre corps. En d’autres mots, les personnes décédées restent dans un état de sommeil jusqu’à ce qu’elles soient réveillées pour le jugement dernier. La réincarnation, en revanche, est la croyance que l’âme peut quitter un corps à la mort et renaître dans un autre corps en tant que nouveau-né, recommençant ainsi une nouvelle vie. Toute entité vivante est donc habitée par une âme qui quitte le corps après la mort de ce corps et intègre celui d’un nouveau-né.

Avec les religions plus anciennes, on retrouve l’idée que l’homme doit naître et mourir plusieurs fois sur terre avant de se libérer définitivement pour accéder à un autre niveau cosmique. Les Hindoues croient en la réincarnation, les Bouddhistes aussi y croient. Si vous étudiez le texte de la Bible, vous constaterez bien vite que les Juifs aussi, du temps de Jésus, y croyaient.


Dans l’évangile de Mathieu, Chapître 16, verset 13-14, nous pouvons lire :

Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, demanda à ses disciples: Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de l'homme?
Ils répondirent: Les uns disent que tu es Jean Baptiste; les autres, Élie; les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes
.’

(Lisez ici et ici)


En d’autres mots, ils sont en train de suggérer que les autres autour d’eux pensent que Jésus est Jean Baptiste, Elie ou Jérémie réincarné. Pourquoi diraient-ils cela s’il n’y avait pas déjà chez eux, à ce moment-là, la croyance en la réincarnation ? Vous remarquerez que Jésus lui-même ne les corrige pas lorsqu’ils le disent.


Il est vrai que la Bible contient des arguments contre la réincarnation, mais l’essentiel de ces arguments apparaissent dans le discours de ceux qui écrivent après la crucifixion de Jésus. La résurrection, la résurrection physique de l’homme dans son corps, semble apparaître chez les pères de l’Eglise qui devaient expliquer à la foule la disparition de Jésus après qu’il eut été ramené à la vie, et alors naquit l’idée de l’ascension de Jésus dans son corps physique. Il est possible que les proches disciples de Jésus eux-mêmes aient eu à fournir une explication, et ils ne pouvaient révéler la vérité à la foule car cela aurait mis la vie de leur maître en danger. Il est possible que ce soit eux qui aient inventé l’idée que Dieu, le Père, avait enlevé Jésus, Son fils, au ciel. Ou que ce soit une idée qui apparaît plus tard avec la nécessité que trouvait l’Eglise à soutenir, dans ses dogmes, la nature divine de Jésus.


La résurrection est un concept que Paul défendra scrupuleusement dans ses lettres après cela. Dans les Epîtres aux Corinthiens, lettre 15, versets 13-14, Paul dit :

S’il n’y a point de résurrection des morts, Christ non plus n’est pas ressuscité.Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.’


Il faut noter que Paul lui-même n’avait jamais rencontré Jésus auparavant ; il ne l’a pas connu de son vivant, mais il est devenu un disciple de Jésus après avoir eu une vision de lui alors qu’il était en route vers Damas. Et cela arriva après la crucifixion. Malgré cela, c’est la version de Paul de l’histoire qui a survécu jusqu’à ce jour, et c’est la version de Paul qui est exprimée dans les quatres évangiles canoniques du Nouveau Testament. Si j’avais à choisir entre Jésus ou Paul, c’est Jésus définitivement que je choisirais. Un des pères de l’Eglise, Irénée de Lyon dans son Traité contre les Hérésies, déclara que les Chrétiens croyaient dans la résurrection du corps physique, de la même manière que Jésus lui-même avait été ramené à la vie dans son corps physique. Très bientôt, je vous démontrerai que Jésus n’est en fait jamais mort sur la croix, mais qu’il a repris conscience dans la tombe. Et donc, que tout le concept de résurrection n’est en fait qu’une fausse doctrine propagée par les pères de l’Église, alors qu’en réalité, Jésus lui-même a enseigné d’autres notions, parfaitement en accord avec les religions d’Orient : le Karma et la réincarnation.


Je vais à présent citer un certain nombre de déclarations attribuées à Jésus telles qu’on les retrouve dans un évangile écrit par l’apôtre Jean lui-même....Oui !! Un évangile écrit par un des 12 apôtres de Jésus, et approuvé par les autres.....Ce texte existe bel et bien. Il a été intitulé ‘L’Evangile des Douze, ou de la Vie parfaite’ par le traducteur du texte, le révérend irlandais Ouseley. (Regardez ici et ici) Je présenterai bientôt ici même les origines de cet évangile dans un autre article. Pour le moment, je vais citer quelques passages de ce texte contenant les discours de Jésus dans le but de soutenir cette idée que je défends ici.


Dans un texte sacré de l’Hindouisme, le Bhagavad Gita, Krishna, l’incarnation de Dieu, déclare :

Ceux qui sont envieux et méchants sont ceux qui sont au niveau le plus bas parmi les hommes ; je les enverrai perpétuellement dans la transmigration, parmi les espèces les plus démoniaques de la vie’ (16,19) Mais aussi : ‘Ceux qui me vénèrent et dédient toutes leurs activités à moi, en m’étant dévoués sans hésitation, en s’engageant dans les activités de foi et meditant sur mon nom, je les délivrerai bien vite de l’océan de vie et de mort.

(12, 6-7)


Dans l’Évangile des Douze, Jésus nous dit ceci :

Ce que vous faîtes aux autres, ainsi il sera fait pour vous. Ce vous donnez, c’est cela même que vous récolterez. Tout comme vous jugez les autres, ainsi vous serez jugé. Tout comme vous servez les autres, ainsi vous serez servi. Car Dieu est juste, et récompense chacun selon son travail. Ce qu’ils sèment, c’est cela même qu’ils récolteront.’ (Lection 18, versets 11-12)


Ceci est la loi du Karma comme l’enseigne aussi Krishna dans le Bhagavad Gita. Les Chrétiens qui réfutent l’idée de la réincarnation ne peuvent fournir aucune explication au fait que même les nouveaux-nés souffrent, naissent aveugles ou malades dès la naissance. Les Chrétiens orthodoxes pourraient suggérer que ces bébés n’ont peut-être pas péché eux-mêmes mais qu’ils doivent souffrir pour les péchés de leurs parents. Le discours de Jésus, au contraire, nous apporte une explication claire et logique aux causes de la souffrance de l’humanité. Nous souffrons uniquement à cause de nos propres actes, et non pas à cause de ce que nos parents, grands-parents, etc auraient fait dans le passé....


Lection 24, verset 4, Jésus dit aussi :

Et Jésus leur parlait de la loi de l’Amour et de l’Unité de toutes formes de vie en une seule famille de Dieu. Et il dit aussi, Tout comme vous faîtes dans cette vie aux autres créatures , de même il vous sera fait dans la vie à venir.’

Ou Lection 34, Verset 10,

Car tout comme vous avez fait dans cette vie, ainsi, il vous sera fait dans la vie à venir.’


La troisième loi de la physique de Newton stipule que toute action entraîne une réaction égale et opposée. La science semble aussi défendre le même principe que Jésus ou Krishna. La question est de savoir si l’Église suivra le pas ou non ?

dimanche 11 mai 2008

DVD: The Lost years of Jesus (1976)

En 1976, le réalisateur Richard Bock produisit un film touchant à la vie inconnue de Jésus, en se basant sur le manuscrit de Notovitch, les lectures de la mémoire Akashic d'Edgar Cayce, et les déclarations des figures religieuses et saints de l'Inde comme Sathya Sai Baba et Yogananda Paramahansa. Ce film est désormais disponible en DVD sur Amazon.com

Vous pouvez aussi voir un extrait du film:





"Il fera ce que je n'ai pas fait!!"


“Il fera ce que je n’ai pas fait!!” Pendant longtemps, je me suis demandé ce que pourrait être cette chose que Jésus n’avait pas faite et qui vaudrait la peine d’être faite aujoudh’ui. Je pense l'avoir devinée: il n’a pas dit à tout le monde où il partait après avoir survécu à la crucifixion. Il était un condamné à mort. Il est naturel, dans ce cas, qu’il ait souhaité gardé son itinéraire secret, en ne le revélant qu’à ses plus proches amis et disciples.


C’est cela qui devrait être révélé au monde aujourdh’ui. Où il est allé !! Car, s’ils le savaient, ils auraient une attitude bien différente. Si les Chrétiens d’aujourdh’ui savaient où Jésus était allé après avoir survécu à la crucifixion, beaucoup de choses auraient été différentes pour eux. C’est tout le concept de résurrection qui aurait à être revu, sinon aboli. Ce concept serait peut-être alors remplacé par des notions qui seraient beaucoup plus en ligne avec l’enseignement du Christ : la réincarnation et le Karma.


La plupart des chrétiens les plus fidèles vont défendre farouchement l’histoire de la résurrection parcequ’ils pensent que cette idée est essentielle à la foi du chrétien. Ils pensent que s’il n’ y a pas de résurrection, alors, cela signifierait que Jésus n’a rien de divin et qu’il ne mérite pas d’avoir autant de fidèles dans le monde. Pour moi, c’est une idée des plus stupides. Il est vrai que Jésus disait souvent que l’homme avait besoin de miracle pour croire. Mais si au moins l’humanité décidait enfin à murir un peu et à réaliser que la foi pouvait aussi être spontanée. Que quelqu’un qui avait autant souffert pour prouver sa bonne foi à l’humanité n’avait plus rien à prouver désormais. Les miracles ne touchent que l’imagination des gens, pas leurs coeurs. Il nous faut plus que des miracles pour toucher les gens au coeur. Il nous faut de l’amour. Et c’est une chose que Jésus n’a cessé de déverser généreusement sur l’humanité depuis qu’on le connait ; certainement même, avant cela !! Et il le fait toujours et encore aujourdh’ui !


Le monde a besoin de murir un peu, de devenir enfin adulte et de reconnaître le bien qu’on lui a fait, et d’en être reconnaissant ! Ne croyez pas que Jésus soit un être ordinaire. Vous feriez une très grossière erreur. L’erreur réside dans votre vision. Corrigez notre vision et vous verrez enfin Jésus dans toute sa splendeur. Et vous n’aurez pas besoin d’une résurrection pour cela !!

vendredi 9 mai 2008

BBC Doc:Hidden story of Jesus// L'Histoire cachée de Jésus

Ceci est un documentaire diffusé sur BBC Channel 4 à l'occasion de la Noel l'année dernière. Ce documentaire en anglais traite des différentes opinions que les différents groupes religieux dans le monde peuvent avoir de Jésus....Des juifs, des musulmans, des hindoues ou des bouddhistes, vous découvriez la place que ces croyants accordent à Jésus, et ce qu'ils pensent de lui...Une excellente ouverture d'esprit pour tout un chacun......

Malheureusement, vous vous rendrez compte, qu'à ce jour, il y a beaucoup plus de documentaires disponibles en langue anglaise sur le net et très peu de documentaires en français d'accès libre ...Mais on n'y peut rien..Je mets le lien tout de même car ce documentaire de Robert Beckford est réellement bien fait, et il faudrait y jeter un oeil absolument. A un moment donné du documentaire, on vous montre même l'intérieur du tombeau de Jésus à Srinagar......

http://video.google.com/videoplay?docid=-7956238808750388174

lundi 5 mai 2008

BBC Doc: Did Jesus die on the cross/Jesus est-il mort sur la croix

Je ne vais pas toucher encore à la période post-crucifixion de la vie de Jésus puisque j'en suis encore loin dans l'exposé que je suis en train de faire petit à petit sur ce blog. Mais ça va venir. En attendant, je mets déjà un lien vers un documentaire de la BBC datant de 2001, intitulé "Did Jesus die on the cross" et traitant la question de savoir, si oui ou non, Jésus est mort sur la croix. Désolé, mais le documentaire est en anglais. Pour ceux d'entre vous qui ont quelques notions d'anglais, vous avez de la chance de pouvoir visionner ce reportage ici:

http://www.videosift.com/video/Did-Jesus-Die-BBC-4-Documentary

Sachez que ce documentaire est présenté en six parties ici, et vous aurez accès aux autres parties en mettant votre curseur sous l'écran video du lecteur.

samedi 3 mai 2008

Constat de la Vie inconnue de Jésus

Nous constatons avec La vie inconnue de Jésus que ce dernier était avant tout un maître dôté d’une grande ouverture d’esprit. Il allait vers tous ceux qui étaient intéressés à l’entendre ; il n’était pas du tout question de restreindre sa prêche aux juifs de l’époque exclusivement. Or, dans les évangiles officiels, il y a une volonté de le peindre comme un meneur du ‘troupeau d’Israel’ au même titre que Moïse l’avait été dans le passé. Ce texte, au contraire, nous montre donc véritablement le maître universel qu’il était, s’intéressant à la relation de chacun avec Dieu, indifféremment de la race ou de l’appartenance à un groupe religieux particulier.


Dans son rejet des Vedas, je pense qu’on ne devrait pas y voir un rejet du brahmanisme dans son ensemble, mais plutôt d’un rejet de certains consignes écrits sur lesquels se fondait la classe des prêtres brahmines pour asseoir leur autorité sur le reste de la masse. Ce sont les injustices sociales qui découlent de cette adhésion trop rigide des brahmines à des principes dépassés, comme le système des castes par exemple, qui le génaient avant tout et qu’il souhaitait éliminer par tous les moyens.


À travers son rejet des idoles, nous pouvons surtout y voir une volonté de Jésus à encourager ses disciples d’entretenir un rapport simple avec Dieu le créateur, un rapport personnel et direct, dénué de tout intermédiaire et rituels qui ne seraient qu’à l’avantage de la classe des prêtres pour assurer ainsi leur autorité sur la masse. En d’autres mots, il s’agissait d’aider la populace à se libérer des carcans du passé et à établir un rapport nouveau avec Dieu, d’où la ‘bonne nouvelle’ de son message.


Les Soudras et les Vaisyas lui demandaient de leur apprendre à prier possiblement parceque les prêtres brahmines avaient tendance de les maintenir à l’écart et de leur refuser l’accès à la sagesse des anciens. Jésus voulait avant tout plus de justice sociale, et pour parvenir à aider ceux qui le suivaient, il fallait nécessairement les amener à rompre avec les coutumes instaurées par les prêtres brahmines. Jésus leur apportait la religion du coeur. Il leur disait que le véritable temple de Dieu était leur coeur, et que tous y avaient accès sans exception.


Jésus a été influencé à la fois par la sagesse hindoue et bouddhiste. Une étude de son enseignement nous le révèlera clairement. Mais il souhaitait aussi que l’humanité développe un nouveau rapport avec Dieu, un rapport direct et simple. En cela, son évangile nous est précieux car il porte en lui les germes d’une réconciliation culturelle et religieuse pour toute l’humanité. Il nous a appris que Dieu était beaucoup plus proche que l’on ne pense. Pour cela, nous devons lui être reconnaissants.


"Jesus in India" un film de Paul Davids


Très bientôt, un superbe film de Paul Davids intitulé Jesus in India (Jésus en Inde) sera lancé, touchant à la vie de Jésus entre 12 et 29 ans. Le réalisateur de ce film a voyagé dans trois continents, l’Asie y compris, pour produire ce film. Il a interviewé des personnages aussi éminents qu'Edward Martin, le Dalai Lama, le Shankaracharya, Elaine Pagels, entre autres.

La musique est signée Brian Lambert. Vous pourrez l’entendre en musique de fond en visitant le site.

Une bande annonce est déjà disponible. Regardez la ! Cela promet être très intéressant !!

http://www.jesus-in-india-the-movie.com/

dimanche 27 avril 2008

La vie inconnue de Jésus


Vous devez considérer que la version de la vie de Jésus telle que la racontent les marchands des caravans aux bouddhistes du Tibet est celle qu’ils connaissaient eux-mêmes. On pourrait se demander quel intérêt avaient les bouddhistes à conserver par écrit le récit de la vie de Jésus. Il nous suffit d’étudier le livre de Notovitch pour nous rendre compte que Jésus a voyagé en Orient au cours de sa vie, et il demeura avec les Bouddhistes pendant un certain temps, étudiant leurs textes sacrés et apprenant leur tradition. Il est évident que les Bouddhistes eux-mêmes le considéraient comme un être éclairé et étaient tristes d’apprendre ‘sa mort’ en Palestine.


Selon les rouleaux trouvés par Notovitch, Issa, à l’âge de treize ans, devait prendre une femme comme tout autre Israélite de son époque. Beaucoup de gens désiraient avoir Issa comme gendre car on appréciait ses grandes qualités et aussi la sagesse dont il faisait preuve quand il discutait des écritures saintes. Issa quitta sa maison en secret, et partit de Jérusalem en compagnie de marchands vers le Sind. Selon les rouleaux, il fit cela afin de pouvoir étudier ‘les lois de Bouddha’. Il avait quatorze ans quand il atteignit la région du Sind, et il s’établit parmi les Aryas. Sa réputation se répandit rapidement au Nord du Sind and les Jainas le supplièrent de demeurer avec eux. Mais il décida de repartir après un certain temps, et visita Orissa à Jagganath, où il fut reçut par les prêtres brahmines.


Les prêtres lui apprirent beaucoup de choses : à lire et comprendre les Vedas, à guérir par la prière et à enseigner les Saintes écritures, à chasser les mauvais esprits du corps et restorer le corps humain des mutilations et blessures.


D’après les rouleaux, il passa six ans à Jagganath, Rajagriha, Benares et les autres villes religieuses. Tous l’aimaient et il vécut en paix avec eux. Mais en tant que maître spirituel, il enseignait aussi à tous, peu importe leur statut dans la société. Hors, il est dit que les prêtres brahmines n’apprécièrent pas qu’il puisse enseigner aussi aux Soudras et aux intouchables, qui étaient considérés par eux comme des êtres inférieurs, des pariahs, et étaient généralement traités comme des esclaves. Issa disait aux Soudras : ‘Dieu le Père ne fait aucune différence entre ses enfants, qui sont tous tout autant chers à ses yeux.’ Selon le manuscrit, Jésus finit par rejeter les Vedas en disant que son contenu avait été perverti. Il réfusa aussi l’adoration des idoles, et enseigna aux Soudras et Vaisyas de traiter tout le monde pareillement, de soutenir et assister les faibles et les pauvres.


Nous apprenons que les prêtres brahmines étaient très fâchés par l’attitude de Issa et décidèrent de le mettre à mort. Mais Issa, prévenu du danger par les Soudras, s’enfuit de Jagganath, et s’en alla vers le pays des Goutamides, le lieu de naissance de Bouddha Sakya Muni lui-même. Ayant appris la langue Pali, Issa se mit à étudier les rouleaux sacrés des Soutras. Et six ans plus tard, il pouvait en expliquer le contenu parfaitement.


Après cela, il quitta le Népal et les Himalayas, descendit dans la vallée de Rajpoutan, continua vers l’ouest, en préchant devant divers peuples sur son chemin. Sa réputation se répandit aussi parmi les païens qui abondonnèrent leurs idoles pour prier Dieu comme Issa leur enseignait.


Sa réputation se répandit aussi dans les pays avoisinants, et quand il entra en Perse (Iran), les prêtres craignaient l’influence qu’il pouvait avoir et empêchèrent les habitants de l’écouter. Mais quand ils virent que tous les habitants le recevaient avec joie, ils décidèrent de l’arrêter et de l’amener devant le Grand Prêtre qui lui demanda de dire quel nouveau Dieu il enseignait au peuple. A cela, Issa répondit, ‘Ce n’est pas d’un nouveau Dieu que je parle ici, mais de notre Père Céleste, qui a existé depuis le début des temps...’ Après l’avoir entendu, ils décidèrent de ne pas lui faire de mal, mais de l’autoriser à quitter le pays tout de suite.


Selon les rouleaux, il eut vingt-neuf ans quand il atteignit Israel et commença son ministère dans son pays. Il enseigna dans toutes les villes d’Israel pendant trois ans. Selon le manuscrit, ce fut Ponce Pilate, et non les prêtres juifs, qui était dérangé par la popularité grandissante de Jésus et demanda à un de ses espions de l’accuser. On notera que cette idée est en contradiction avec ce que l’on peut apprendre d’autres sources, mais nous devons comprendre que les marchands provenant de la Palestine n’avaient pas forcément toutes les informations sur le sujet. C’est essentiellement leur point de vue qui était présenté dans leur récit. D’autres sources que je citerai plus tard nous montreront un tout autre visage de Ponce Pilate, le gouverneur romain, et de son rôle dans la vie de Jésus.


Pilate donna le corps de Jésus à sa famille après la crucifixion et il fut placé dans un tombeau, non loin du lieu de crucifixion. (Fait étrange puisqu’en général, les condamnés à mort étaient toujours laissés en pâtures aux animaux sauvages du désert.) Trois jours plus tard, quand le gouverneur envoya ses soldats prendre le corps pour l’enterrer ailleurs afin d’éviter une révolte du peuple, ils trouvèrent le tombeau ouvert et vide. Aussitôt, la rumeur se répandit que Dieu avait envoyé ses anges pour enlever les restes du corps du saint homme. Les disciples d’Issa continuèrent à prêcher sa parole dans plusieurs pays des alentours.


Au sujet de Nicolas Notovitch

Nicolas Notovitch

Le monastère de Hemis au Tibet

Un des plus importants documents pouvant nous permettre de découvrir la vie de Jésus est le récit publié par Nicolas Notovitch en 1894 sous le titre ‘La vie inconnue de Jésus Christ’. Ce récit est la traduction d’un manuscrit écrit en ancien pali, trouvé par Notovitch lui-même au cours d’un voyage au Tibet dans un monastère bouddhiste appelé Hemis. Selon la tradition, ce récit est celui que firent des marchands venus au Tibet de la Palestine, rapportant aux tibétains la nouvelle de la crucifixion de Issa – c’est ainsi que les bouddhistes appellent Jésus.


http://www.amazon.fr/vie-inconnue-J%C3%A9sus-Christ-Nicolas-Notovitch/dp/2908431009/ref=sr_1_9?ie=UTF8&s=books&qid=1209231179&sr=8-9


Dans ce manuscrit, Notovitch eut la grande surprise de découvrir que Jésus aurait voyagé en Iran, en Inde et au Tibet au cours de sa vie, et qu’il aurait profité de ce voyage pour découvrir les religions d’Asie. Il aurait lui-même enseigné à tous ceux qui voulaient bien l’entendre au cours de ce voyage.

http://french.cut.org/enseignements/maitres/jesus/jesus01.htm


Ce manuscrit nous permet de découvrir en détail un certain nombre de détails inconnus de la vie de Jésus. Même si l’authenticité de ce manuscrit a été contestée par le Dr. Max Muller, Nicolas Notovitch n’a jamais renoncé à défendre sa position sur le sujet. Il faut savoir que par la suite, d’autres personnes éminentes ont aussi tenté le voyage au Tibet pour retrouver ce manuscrit décrit par Notovitch dans sa préface à la traduction française. Il y eut en autres le Swami Abhedhananda, un disciple de Ramakrishna et ami de Max Muller. Abhedananda avait toujours été sceptique au sujet de Notovitch et sa version des faits. En 1922, il a fait un voyage au Tibet lui-même dans le but de prouver au monde que Notovitch était un menteur. Il fut surpris de découvrir lui-aussi le même manuscrit et il traduisit des parties de ce manuscrit dans son livre sur le voyage entrepris au Tibet, intitulé ‘Kashmir O Tibeti’. A partir de ce moment, lui-aussi fut convaincu de l’authenticité de la légende d’Issa. D’autres personnes ayant vu le manuscrit sont Nicolas Roerich, un autre russe qui visita la monastère de Hemis en 1925 et Elizabeth Caspari en 1939. Roerich traduisit le manuscript lui-aussi et sa version correspond bien à celles de Notovitch et d'Abhedananda.


Malheureusement pour nous, les documents originaux ne sont plus au monastère actuellement. Ils ont certainement été enlevés par une autorité quelconque. On ne peut le savoir au juste.

http://secretebase.free.fr/complots/religions/indejesus/journal_roerich.htm




Le vide dans sa vie


Tout ceux qui décident d’étudier la vie de Jésus, en s’appuyant sur les quatres évangiles canoniques se rendent bien vite compte qu’une grande partie de sa vie demeure inconnue dans ces sources. On se rend compte bien vite qu’il y a des parties qui manquent au puzzle, et que ces pièces manquantes pourraient avoir une importance capitale pour toutes les personnes qui s’intéressent à sa vie. Dans les articles qui suivent, je vais sortir des chantiers battus afin de trouver pour vous toutes les sources disponibles pouvant nous permettre de combler ce vide dans la vie de Jésus et nous aider à mieux le comprendre.

Je crois


Je crois que Jésus est un maitre spirituel universel dont la mission était de créer un pont spirituel entre l'Orient et l'Occident, et d'aider à réconcilier les différentes cultures de l'humanité. Né au Moyen-Orient, il voyagea dans plusieurs pays du monde, y compris l'Inde, la Perse et le Tibet, et il ramena en Israel un trésor de sagesse qu'il distribua généreusement autour de lui. Malheureusement, la grande majorité de son peuple ne comprirent pas ses intentions et décidèrent de se débarasser de lui.

Jésus d'Orient et d'Occident



Ce blog touche à la vie réelle de Jésus- s'appuyant sur les travaux de recherche de plusieurs personnes et les miens y compris. Ce que vous trouverez ici est une présentation honnête de ce que Jésus a été vraiment. Tout ce que je souhaite est que cela vous amènera à faire vos propres recherches.