dimanche 29 juin 2008

L’intuition en tant que source de connaissance


Il arrive souvent que l’on se réveille au matin en ayant en tête, tout à coup, la solution à un problème sur lequel on a travaillé sans relâche la veille, mais sans pour autant trouver la solution. À ce moment-là, on serait tenté de penser que la nuit nous a porté conseil et, en fait, on ne serait pas loin de la vérité. En état de sommeil, nous sommes coupés du monde extérieur, nos sens ne se focalisent plus sur les événements extérieurs, ce qui nous donne accès à notre intérieur, et à tout un univers que l’homme moderne connaît mal. Il y accède grâce à son intuition.


Comment se fait t-il qu’on arrive à trouver la solution à des problèmes complexes alors qu’on a du mal à le faire pendant l’état d’éveil. Il y a une théorie qui suggère que pendant l’état de sommeil, on a accès à une source de connaissance quasi illimitée, un puit de savoir auquel chaque individu aurait pu accéder s’il l’avait souhaité.


C’est généralement notre égo qui fait obstacle à l’accès à ce savoir. Notre égo nous pousse à nous voir nous-mêmes par rapport aux autres, à nous mesurer aux autres toujours. En nous comparant aux autres de façon perpétuelle, on développe un manque de confiance en soi, on ne cherche plus les solutions en soi, mais plutôt autour de soi. L’esprit ‘scientifique’, l’esprit du monde moderne a toujours besoin de preuves ; il a toujours besoin de tout prouver aux autres. Du coup, il ne se fie plus à son intuition, ne consulte plus cette source de connaissance qu’il porte en lui, et qui aurait pu le sortir des situations les plus difficiles. La personne qui se veut ‘scientifique’ dans son travail à tous les coups, se renferme lui-même dans un carcan auquel, souvent, seul la mort pourrait éventuellement l’en libérer. On peut dire sans hésitation qu’une personne qui se fie à son intuition a aussi la possibilité de vivre une vie plus satisfaisante, alors que celui qui ne s’y fit pas, aura toujours tendance à ne pas être satisfait, cherchant toujours autour de lui des réponses qu’il ne trouve pas.


Dans la culture orientale, il existe un concept qui suggère que quelque part dans l’univers, toutes les expériences du monde sont répertoriées et conservées dans une mémoire universelle et que chacun peut y avoir accès à tout moment s’il le souhaite. C’est ce qu’on appelle les annales Akashiques. Il semble que ce soit de là que les êtres éclairés qui ont marqué l’humanité puisent leurs savoirs. Mais les êtres éclairés, comme Jésus, le Bouddha, Mahomet ou Sathya Sai Baba ont aussi enseigné à l’homme les moyens d’avoir accès lui-même à cette source de connaissance et de sagesse. Toutes les formes de spiritualités, toutes les formes de pratique spirituelle, servent surtout à nous pousser à l’intériorisation, à nous tourner vers notre intérieur, pour éventuellement y trouver plus de paix et de tranquilité. En effet, le monde extérieur est un univers de changements, un constant remue-ménage. Et tout ce désordre embrouille l’esprit et nous empêche d’employer toutes nos facultés pour trouver la solution à nos problèmes.


La prière et la méditation semblent être les exercices classiques de spiritualité nous amenant à nous tourner vers notre fort intérieur, à nous écouter nous-mêmes, et à chercher les réponses, si besoin est, en nous-mêmes. Que faisons-nous quand toutes les traces physiques et visibles d’un événement passé ont fini par disparaître, ou ont été effacées volontairement. Devons-nous obligatoirement renoncer à retrouver ces traces qui auraient pu nous aider à mieux comprendre le monde où nous vivons, et possiblement à aider les autres à mieux le comprendre. Bon nombres de personnes affirment avoir eu accès à des événements du passé grâce des méthodes ‘non-conventionnelles’, à travers le rêve, la méditation, des visions, etc....Du moins, c’est l’esprit scientifique qui aurait tendance à considérer ces moyens comme ‘non-conventionnels’, comme peu sûrs et pas fiables. Examinez le cas d’un personnage comme Edgar Cayce qui donnait des conseils aux autres dans tous les domaines, même ceux auxquels il n’avait pas été formé lui-même auparavant. Considérez le cas de Jésus qui semble connaître à l’avance sa propre destinée et celles des autres. Considérez le cas de Sathya Sai Baba qui semble déjà tout connaître de chacun d’entre nous sans même nous avoir rencontrés auparavant.


Et si ce pouvoir de l’intuition était le naturel de tout un chacun, qu’il nous suffirait de nous y fier un peu plus pour arriver à le développer pour le meilleur? Dans cette quête de la vie de Jésus, j’aurais souvent l’occasion d’avoir recours à ma propre intuition, ou à me fier à celles des autres. Deux mille ans après les événements, il se pourrait que ce soit un moyen tout aussi efficace pour connaître la vérité sur les événements. Toutes mes recherches sur la vie de Jésus m’ont améné à comprendre que des événements importants de sa vie sont restés cachés pour l’ensemble de l’humanité. Et si la vérité était tout ce dont l’humanité avait besoin pour régler les conflits planétaires, entre nations, entre races, entre cultures? Cherchons en nous-mêmes les réponses et aidons, si possible, les autres à trouver ces réponses. Voilà la tâche que je me suis assigné dans cette quête de Jésus.

dimanche 15 juin 2008

Les signes qui montrent que Jésus n'est pas mort sur la croix!

Le temps passé sur la croix

Tout d’abord, vous devez savoir qu’il est possible de survivre à la crucifixion. Même si c’est l’une des punitions les plus atroces que l’on pourrait infliger aux criminels dans l’ancien temps, il y a des cas connus de personnes qui ont survécu à cette expérience. L’historien juif du premier siècle, Joséphus rapporte dans La Vie de Flavius Joséphus avoir un jour rencontré trois de ses amis qui avaient été crucifiés, et après avoir fait appel au pardon du Commandant Romain Titus, les trois hommes furent descendus de la croix et reçurent la meilleure attention médicale possible. Deux d’entre eux moururent, mais l’un d’entre eux survécut.


Grâce aux récits des historiens comme Joséphus, nous savons que les criminels qui étaient crucifiés devaient être laissés sur la croix pendant plusieurs jours avant qu’ils ne meurent. Et la mort survenait avec l’épuisement et étouffement, non pas à cause des blessures de la personne. Avec le temps qui passe, les criminels, s’épuisant, finisaient par ne plus avoir de force pour tenir sur leurs jambes. En étant maintenus de la sorte avec leurs bras étirés, il y avait compression des poumons qui les empêchait de respirer proprement. Ils s’étouffaient et finissaient par mourir. Mais en général, cela arrivait au bout de deux ou trois jours. Parfois aussi, pour accélérer le procéssus, les jambes des criminels étaient brisées, ce qui les amenait à s’étouffer beaucoup plus rapidement et mourir par la suite.


Dans le cas de Jésus, les récits des évangiles canoniques nous donnent des informations sur le temps qu’il a passé sur la croix. Bon nombre de chercheurs estiment que ce temps-là ne suffit pas pour avoir donné la mort à Jésus.


Dans le récit de l’évangile de Marc, chapître 15, verset 25, vous pouvons lire ceci : « C'était la troisième heure, quand ils le crucifièrent. » (La troisième heure chez les juifs de l’époque correspond à neuf heures du matin). Dans les versets 34 à 37, nous lisons ceci : « Et à la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Éloï, Éloï, lama sabachthani? ce qui signifie: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? Quelques-uns de ceux qui étaient là, l'ayant entendu, dirent: Voici, il appelle Élie .Et l'un d'eux courut remplir une éponge de vinaigre, et, l'ayant fixée à un roseau, il lui donna à boire, en disant: Laissez, voyons si Élie viendra le descendre. Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira. » (La neuvième heure correspond à 3 heures de l’après-midi.) Cela signifie qu’il est resté sur la croix pendant au moins six heures avant d’être considéré comme mort par l’assistance. Alors que certains ont suggéré qu’on lui avait donné une substance quelconque à boire avec le vinaigre, lui faisant perdre connaissance, il est clair qu’il n’a passé que six heures sur la croix.


Avec les autres récits de Mathieu, Luc et Jean, nous notons, soit le même temps, ou un temps plus court passé sur la croix. C’est dans l’évangile selon Jean que nous trouvons un temps encore plus court : « C'était la préparation de la Pâque, et environ la sixième heure. Pilate dit aux Juifs: Voici votre roi.Mais ils s'écrièrent: Ote, ôte, crucifie-le! Pilate leur dit: Crucifierai-je votre roi? Les principaux sacrificateurs répondirent: Nous n'avons de roi que César. Alors il le leur livra pour être crucifié. » (Jean 19 :14 – 16) Dans ce récit, le procès a lieu bien plus tard, à midi, ce qui signifie que Jésus est resté encore moins de temps sur la croix. Le lendemain devait être le jour du Sabbat pour les Juifs et les corps des criminels ne devaient pas demeurer sur la croix à cause de cela.


« Dans la crainte que les corps ne restassent sur la croix pendant le sabbat, car c'était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour, les Juifs demandèrent à Pilate qu'on rompît les jambes aux crucifiés, et qu'on les enlevât. » (Jean 19 :31)


Les corps des crucifiés devaient donc être enlevés des croix avant la fin de la journée, et sans surprise, on découvre que les deux autres hommes qui avaient été crucifiés avec Jésus étaient toujours en vie. Et leurs jambes devaient donc être brisées pour accélérer le processus. Mais dans le cas de Jésus, ils le trouvèrent apparemment inconscient et croyaient qu’il était déjà mort.


Le sang et l’eau

Il y a un détail qui devrait attirer l’attention du lecteur dans les récits des évangiles. Dans Jean 19 :32- 34, nous lisons ce qui suit : « Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes au premier, puis à l'autre qui avait été crucifié avec lui. S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau. »


Si Jésus était déjà mort à ce moment-là, on pourrait se demander comment cela se fait qu’autant de sang et d’eau puissent jaillir du corps de Jésus. Cela ne peut arriver que si le coeur de Jésus continuait encore à battre. Le sang ne circule plus au moment où le coeur s’arrête de battre. Dans le cas de Jésus, cela est la preuve qu’il vivait encore.


Un autre détail qui devrait nous frapper est que Pilate lui-même, lorsqu’on vient lui demander le corps de Jésus, fut surpris d’apprendre que celui-ci était déjà mort : « Pilate s'étonna qu'il fût mort si tôt; il fit venir le centenier et lui demanda s'il était mort depuis longtemps. » (Marc 15:39)


C’est un noble appelé Joseph d’Arimathée qui alla demander le corps de Jésus à Pilate. Nous savons qu’il est un disciple de Jésus et avait beaucoup d’influence à Jérusalem, car il alla directement à Pilate pour demander le corps de Jésus.


« Le soir étant venu, arriva un homme riche d'Arimathée, nommé Joseph, lequel était aussi disciple de Jésus. Il se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus. Et Pilate ordonna de le remettre. » (Mathieu 27 :57-58)


Quand on lit les récits de cette période, nous apprenons que les hommes condamnés, sous le régne de Rome, ceux qui étaient crucifiés, étaient tout simplement laissés dans le désert après leur mort afin que leurs corps soient dévorés par les bêtes sauvages. En principe, ils n’avaient pas les honneurs d’être placés dans un tombeau comme ce fut le cas pour Jésus. Le fait que le gouverneur Ponce Pilate ait authorisé que le corps de Jésus soit pris par les disciples est un signe que Pilate lui-même avait un certain respect pour Jésus.


Il y a des lettres de Pilate qui le certifient. Dans une lettre de Pilate addressée à l’empereur, il parle de son admiration pour Jésus, et même de la protection qu’il lui aurait accordée par moment. Une lettre authentifiée se trouve à la Bibliothèque du Congrès à Washington:


« Un jeune homme apparut en Galilée, préchant avec humilité, une nouvelle loi au nom du Dieu qui l’avait envoyé. Au début, j’ai été méfiant croyant que son but était de soulever le peuple contre les Romains, mais mes craintes se sont dissipées bien vite. Jésus de Nazareth parlait autant en tant qu’ami des Romains, que celui des Juifs. Un jour, j’observais au milieu d’un groupe de gens un jeune homme qui se penchait contre un arbre, s’addressant calmement à la multitude. On me dit que son nom était Jésus. Cela, je pouvais aisément le deviner, tant il était différent de ceux qui l’éoutaient. Ses cheveux doré et sa barbe lui donnaient un aspect céleste. Il avait l’air d’avoir la trentaine. Jamais je n’ai vu une physionomie aussi douce et sereine. Quelle différence entre lui et ses auditeurs aux barbes noires et aux physionomies de fauve. Ne voulant pas l’interrompre par ma présence, je continuais ma ballade mais demanda à mon secrétaire de se joindre au groupe et d’écouter. Plus tard, mon secrétaire me rapporta que jamais il n’avait lu chez les philosophes, quelque chose qui pourrait se rapprocher de l’enseignement de Jésus. Il m’apprit que Jésus était ni séditieux ni rebelle, alors nous lui offrîmes notre protection. Il avait la liberté d’agir, de parler, de rassembler et de s’adresser au peuple. Cette liberté illimitée provoqua les Juifs – pas les pauvres, mais les riches et les puissants.


Plus tard, j’écrivis à Jésus pour lui demander un entretien au Praetorium. Il vint. Quand le Nazaréen fit son entrée, je faisais ma promenade du matin et comme je lui faisais face, mes pieds avaient l’air cloués au sol de marbre et je tremblais de tous mes membres, comme un criminel coupable alors qu’il était calme. Pendant un temps, j’étais en admiration devant cet être extraordinaire. Il n’y avait rien en lui de repoussant, ni dans sa personnalité. J’étais stupéfié par sa présence. Je lui dis qu’il avait une simplicité attrayante et que sa personnalité l’élevait au-dessus des philosophes et enseignants de son temps. En somme, il fit une profonde impression sur moi et tout le monde à cause de sa générosité, sa simplicité, son humilité et son amour.


A présent, Noble Souverain, ce sont les faits concernant Jésus de Nazareth et j’ai pris le temps de vous écrire en détail à son sujet. Je dis qu’un tel homme qui ^pouvait convertir de l’eau en vin, transformer la mort en vie, les maladies en santé, calmer les mers déchainés, n’est pas coupable d’offense criminelle, et comme d’autres l’ont dit, nous devons reconnaître qu’il est réellement le Fils de Dieu !


Ton fidèle serviteur,

Ponce Pilate. »


Les herbes apportées par les disciples

Dans le récit de l’Évangile selon Jean, nous apprenons qu’après que le corps de Jésus ait été repris par Joseph, le disciple, Nicodème apporta des herbes au tombeau : « Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d'environ cent livres de myrrhe et d'aloès. Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme c'est la coutume pour ensevelir chez les Juifs.» (Jean 19 :39-40)


Ce fameux mélange de myrrhe et d’aloès a beaucoup intrigué les chercheurs, car ces herbes avaient aussi des propriétés curatives. Elles avaient été utilisées par les Romains et les Grecs au moins 300 ans avant JC à cause de leurs propriétés medicinales. Ces herbes pouvaient-elles avoir été utilisées par les disciples eux-mêmes pour guérir les blessures de Jésus ou au moins pour commencer un traitement avant de le mettre dans la tombe ? Cette tombe appartenait à Joseph lui-même et se trouvait à proximité de la scène de crucifixion. Si Jésus était réellement mort, on pourrait se demander pourquoi ils avaient besoin d’autant d’herbes pour lui, car c’était réellement une quantité extravagante. Selon les traités médicaux anciens, une mixture de myrrhe et d’aloès est un remède efficace en cas de blessures.


Ce qui a pu se passer à l’intérieur du tombeau.

C’est là une question qui intrigue les chercheurs depuis des années. Devons-nous accepter la version officielle de l’Eglise et croire que Jésus est vraiment mort sur la croix, ou alors, pouvons-nous prendre en considération tous les indices que je viens de vous indiquer ici ? Nous savons, d’après les récits de évangiles, que la tombe était bien gardée, les signes surnaturels que les gens observaient au moment de la mort de Jésus leur faisaient peur. On pourrait se demander s’ils sont effectivement restés à leurs postes.


Un autre point à noter est le fait que cette nouvelle tombe appartenait à un disciple de Jésus. Elle pouvait bien contenir un passage secret menant ailleurs qui aurait permis à quelqu’un de rejoindre Jésus alors que la tombe était fermée de l’extérieur. L’évangile selon Luke (23:53) nous apprend ceci : « Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis. » Joseph d’Arimathée était un homme riche d’influence. Il est possible qu’il ait pu intervenir lui-même.


Mais nous n’avons pas à aller jusque là pour croire que Jésus n’était pas encore mort au moment de la mise au tombeau. Le récit du manuscrit trouvé par Notovitch au Tibet nous montre bien que Jésus avait appris à guérir les bléssés et à restaurer le corps humain de ses blessures. Nous savons qu’il était un excellent guérisseur. Si on imagine qu’il était dans un état de coma à la descente de la croix et qu’il soit revenu à lui dans la tombe, il aurait très bien pu se guérir seul à l’aide des herbes qu’il avait avec lui. Plus tard, je vous parlerai d’une autre possibilité qu’on a pu envisager pour expliquer qu’il ait pu s’en sortir.


De toute façon, il existe bon nombre d’indices qui montrent qu’il a bien survécu à la crucifixion. Mais ces indices existent dans des documents n’appartenant pas à la tradition judéo-chrétienne. Ce qui explique pourquoi les chrétiens ne les connaissent pas. Pourtant ces textes sont tenus en estime dans d’autres traditions du monde : en Perse, en Inde, au Tibet, et même en Chine. Jésus a toujours été un être de lumière marquant son assistance partout où il est passé après son départ de la Palestine. Parcequ’il est clair qu’il ne pouvait demeurer en Palestine après cela. Il était un condamné à mort. Pour ne plus avoir d’ennui avec les autorités romaines, il se devait de quitter la jurisdiction de l’Empire Romaine.


L’attitude des Chrétiens a toujours été d’ignorer ces textes provenant du reste du monde, et les considérer comme hérésies. Ils en ont peur et ne veulent pas en entendre parler. Pourtant, c’est précisément dans ces documents d’ailleurs que l’on pourrait retrouver des traces de la vie de Jésus après la crucifixion. Il a continué à vivre jusqu’à un âge fort avancé. Si au moins, les Chrétiens du monde osaient sortir des chantiers battus, ils auraient trouvé un Jésus encore plus impressionnant qu’ils n’avaient pu imaginer. L’image de Jésus telle que nous montre l’Église est une image déformée. Il convient de faire des recherches pour retrouver ce qu’il a été. Il existe encore des indices dans d’autres traditions du monde de ce que Jésus a réellement été. Dans les articles qui suivent, je vous donnerai un aperçu du contenu de ces documents.


Il est évident que bon nombre des dogmes de l’Église n’existent que pour assurer l’autorité de l’Église sur les fidèles. Les apôtres étant les rares privilégiés à avoir été temoins de la résurrection, ils deviennent du coup les détenteurs d’une autorité transmise à travers l’Église et, et de Pape en Pape, garantissant la survie de l’institution. Mais un Chrétien ne doit pas avoir peur de la vérité. S’il faut la chercher, ayez le courage de le faire et vous ne serez pas déçu. Bien au contraire, vous vous lancerez alors sur une des quêtes les plus fascinantes de votre vie.